Actualité

Créé en 1989, le cercle celtique de Pommerit-le-Vicomte ne disposait alors que d’une section enfants et se nommait Bugale Pañvrid ; les enfants ont grandi et, en 1992, une section adulte complète l’association qui prend dès lors le nom de Korriganed Pañvrid (les Korrigans de Pommerit). Dans le cadre du festival de la Saint-Loup, le cercle celtique,

Margareth et Jonathan Low, propriétaires du camping de Milin Krehré, ont reçu jeudi matin la visite de Pierre Salliou, maire, Bernard Henry, adjoint aux associations, et Loïc Frémont, adjoint en charge du tourisme. Cette visite annuelle permet d’échanger avec les propriétaires sur le fonctionnement du camping, mais aussi de recueillir les avis des utilisateurs. Malgré

Vendredi après-midi une vingtaine de visiteurs ont répondu à la proposition de la municipalité pour une découverte du patrimoine public et privé de la commune. Sous la conduite de Pierre Salliou, maire, et Loïc Frémont, adjoint en charge du tourisme et du patrimoine, ils se sont d’abord rendus dans l’église Saint-Tugdual pour écouter les explications

Le nouveau sentier de randonnée, dénommé Chemin de Munehore, a été inauguré mercredi en présence du propriétaire du château de Munehorre, M. de Geofroy et ses enfants, des propriétaires du camping de Milin Kerhré,  Jonathan et Margareth Low, des représentants d’associations et clubs de marcheurs et joggeurs, et de plusieurs élus, dont le maire Pierre

« J’oublie tous mes soucis quand je suis dans mon jardin, c’est la meilleure des thérapies… » ; 14 jardiniers de la commune, inscrits au concours communal 2016, en sont persuadés et ils vont même, pour certains, jusqu’à fleurir et entretenir des petits délaissés communaux proches de leurs propriétés. Le jury (constitué de Marylène Le Bon

Dimanche matin, en avant-première de leur spectacle créé dans le cadre du Bugale Breizh, les enfants du cercle celtique de Pommerit-le-Vicomte (Korriganed Pañvrid) ont interprété une partie de leur programme au camping de Milin Kerhré. Accompagnés par trois musiciens, ils ont mimé les souvenirs de jeunesse d’une grand-mère, les scènes de travail que l’enfant de